Black Doubt

Nom : Black Doubt
Surnom : Je n'ais pas de surnom.
Age : 3 ans
Caractère : Calme, Courageux, lucide, astucieux et malin.
Histoire : Je suis encore jeune, mais peut-être que la vie que j'ai vécu jusqu'a maintenant peut vous interresser ?

Citation :

"Le premier jour de ma vie fut aussi le plus heureux. Je me souvient de ma mère : Une jument andalou blanche. Mon père, un magnifique andalou brun était à ses coté. Il l'aimait visiblement beaucoup. Avant moi, deux chevaux étaient déjà nés : Ma soeur : Phillipines et mon frère : Uranus. Je sentait le doux pelage de la mère contre moi. Ce moment fut merveilleux. Les crins de ma mère dansaient au dessus de ma tête. Je les regardaient voler dans une douce brise d'été. Mon père me lécha le front, me nettoya le pelage. Quelques heures plus tard, j'essaya de me lever. Sans visible succès : Je retomba directement sur mon derrière et remua les oreilles sans comprendre se qui venait de m'arriver. Au bout d'une période d'essai interminable, je réussi à me isser sur mes quatre pattes et à marcher quelques mètres ..."que son père ... Black Doubt. Moi ? J'étais couché sur le sol ... Après ce temps, je sentit que ma soeur était portée près de moi et mon frère nous avait rejoind. Je senti alors le ventre chaud de mon père se coller contre mon dos ... Et je vit ma mère lêcher ma soeur ... Black Doubt regardais les crins soyeux de notre père ..."

"Voici un autre souvenir, il marqua ma mémoire car l'amour que je porte en mon frère à resorti plus que jamais ce jour là ... Peut-être cela ré-arrivera-t-il un jour ?
Ma soeur était déjà loin, je ne la discernait plus. Son corps se mêllait à cette masse neigeuse, je pouvait juste entendre le bruit lointain de ses délicats sabots se poser à une allure algorythmique dans la neige. Mon frère brun, trottait devant. Son air farouche prévoyait une idiotie de sa part. Quand j'arriva à leur niveau, ma soeur buvait dans un petit courant d'eau. Je fit de même, cette marche hivernale m'avait épuisé. Mon frère disparu un peu plus loin. Tout à coup : "Crak !". Je n'apparçut que le visage paniqué d'Uranus lorsque je tourna la tête. Puis mon frère brun fut submergé par l'eau. Je n'eut qu'une seule réaction : Je galopa le long de la rive du courant d'eau, jusqu'à rattraper mon frère, qui lui, n'allait plus tenir longtemps. Je sauta alors dans l'eau. Je plongea dans l'eau et la penettra san éclaboussures. J'essaya de nager à contre-courant, mais mon jeune age me faisait manquer de force. Mon frère s'approchait de moi. Je le plaqua alors le plus possible contre le bord de la rive. Je dut encore le pousser et le soulever pour qu'il puisse monter sur le bord. Une fois remonté, je cracha alors l'eau qui avait pénétré dans mes poumons. J'eut un moment d'absence, mais ma soeur qui venait d'arriver me fit reprendre tout mes esprits ... J'entendis une voix aussi chamboulée que moi, me prononcer un remerciement sincère : "Merci Black"."


"Le souvenir me marqua le moin fut aussi celui qui chamboula toute ma vie. C'était un soir de printemps. La période qui la précéda avait été faible en nourriture. Quelques choses manquait : Nous, les chevaux d'3tinsmoor avions besoin d'une pierre précieuse pour préserver nos terres. Mais celle ci manquaient. Nos parents ne voulaient pas nous expliquer pourquoi ou comment celles-ci avaient disparues ... Mais ils avaient pris une décision qui allaient chambouler notre vie. Mon père, d'une mine grise annonça : "Notre belle terre, est en danger. Nous devon srejoindre nos amis lutants, pour la sauver. Vous êtes encore trop jeunes pour combattre à nos cotés. C'est pour ça que vous nous laissons dans ce pays magique qui vous protêgera. Nous reviendront vous y chercher lorsque que la paix et les Clublöck seront revenus ..." Ma mère pleurait à chaudes larmes, la tête baissée, elle prononça : "Nous vous aimons, et nous feront tout pour vous retrouver au plus vite". Mon frère leur fit signe d'adieux, il ne voulait surement pas faire durer ce moment déchirant. Je regarda alors mon père dans les yeux, et pensa au fond de moi : "Ne t'inquiète pas, je prendrais soin d'eux et les protegerais au péril de ma vie."
Je frotta gentiment la tête de ma mère et vit ma soeur verser une larme. Je me tourna alors vers mon futur : Les frontières de mon pays et le commencement d'un territoire qui nous protegera jusqu'au retour de nos parents : Le Pays des Frisons."

J'aime : Prendre soin de ma famille avant tout.
Je n'aime pas : Voir les gens pleurer par ma faute, qu'une personne ne puisse être sauvée ou qu'une personne souffre par ma faute.

Autres comptes : Phillipines et Uranus

Parfait,franchement,je sius touchée par cette histoire !

Je te mets dans les Frisons du Bien et tu peux jouer !